La NADH
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La NADH, également appelée nicotinamide adénine dinucléotide réduit, est une molécule fondamentale dans le fonctionnement de notre organisme. Elle fournit des ressources vitales aux mitochondries, qui sont les organites cellulaires responsables de la production d’énergie dans nos cellules sous forme d’ATP
Différence entre NADH, NAD+ et NMN
Il y a actuellement une grande confusion sur le marché en ce qui concerne les différentes molécules similaires à la NADH, car leur qualité varie considérablement. Il est crucial de comprendre les distinctions entre les divers produits disponibles, qui portent souvent des noms similaires ou identiques, mais qui contiennent des molécules différentes et ont des effets très différents sur le métabolisme énergétique.
NADH
La NADH (nicotinamide adénine dinucléotide réduit) est une coenzyme biologique essentielle pour le métabolisme énergétique de toutes les cellules vivantes.
La NADH est produite lors de la dégradation des aliments, notamment des glucides, des lipides et des protéines par certains métabolismes cellulaires. Elle est ensuite utilisée dans les mitochondries pour produire de l’ATP (adénosine triphosphate), qui est la principale source d’énergie pour les cellules.
La NADH est une petite molécule composée de deux nucléotides, l’adénine et le ribose, ainsi que de deux groupes phosphate et d’un groupe nicotinamide. Le groupe nicotinamide est la partie active de la molécule qui permet à la NADH d’accepter et de donner des électrons dans les réactions de réduction-oxydation (redox). La NADH est capable de transférer deux électrons et un proton (H+) lors de ces réactions, ce qui lui permet de se transformer en NAD+ (nicotinamide adénine dinucléotide) oxydé.
NAD+
La NAD+ (nicotinamide adénine dinucléotide), étape suivante dans la production d’énergie, est une forme particulière de la NADH. Contrairement à sa forme réduite (la NADH), la NAD+ ne participe pas directement à la création d’ATP, mais elle joue un rôle dans les réactions biochimiques qui y conduisent.
La NAD+ est synthétisée par les cellules lors de divers processus métaboliques, tels que la dégradation des glucides, des lipides et des protéines. Composée de deux nucléotides, l’adénine et le ribose, ainsi que de deux groupes phosphate, la NAD+ possède également un groupe nicotinamide. Ce groupe nicotinamide est la partie active de la molécule, lui permettant d’accepter et de donner des électrons lors des réactions de réduction-oxydation (redox).
NMN
La NMN (nicotinamide mononucléotide) est une molécule qui joue également un rôle dans le métabolisme énergétique des cellules. Cependant, contrairement à la NADH, elle ne participe pas non plus directement à la création d’ATP, la principale source d’énergie cellulaire.
La NMN est synthétisée par les cellules à partir de la vitamine B3, également connue sous le nom de niacine. Une fois formée, la NMN peut être convertie en NAD+ (nicotinamide adénine dinucléotide).
Composée d’un nucléotide de nicotinamide et d’un ribose, la NMN possède une structure moléculaire similaire à celle de la NAD+. Elle agit comme un précurseur de la NAD+ en fournissant le bloc de construction nécessaire à sa synthèse
Relation entre NADH, NAD+ et NMN
La NADH est donc la molécule la plus intéressante pour produire de l’énergie dans ce cycle. C’est elle qui va permettre l’accumulation d’énergie métabolique nécessaire à la synthèse de l’ATP.
La production d’énergie cellulaire implique des interactions cruciales entre le NADH, le NMN, le NAD+, l’ATP et l’ADP. Voyons comment ces molécules interagissent pour générer de l’ATP, la principale source d’énergie utilisée par les cellules.
Lorsque le NADH interagit avec l’ADP (adénosine diphosphate), une réaction importante se produit. Le NADH donne une partie de son énergie sous forme d’électrons à l’ADP, transformant ainsi l’ADP en ATP (adénosine triphosphate). L’ATP est une molécule hautement énergétique utilisée par les cellules pour alimenter une multitude de processus biologiques. Ainsi, le NADH est l’élément clé direct dans la production d’ATP, fournissant l’énergie nécessaire pour les fonctions vitales des cellules.
Pourquoi valoriser la prise de NADH
Comme nous l’avons vu précédemment, le NMN est un précurseur du NAD+ (nicotinamide adénine dinucléotide), tandis que le NAD+ peut être converti en NADH (nicotinamide adénine dinucléotide réduit) par l’apport de protons et d’électrons.
L’ATP (adénosine triphosphate) est quasi-essentiellement synthétisé dans les mitochondries, principalement grâce à l’apport de protons et d’électrons par la chaîne respiratoire mitochondriale, où le NADH joue un rôle clé. Ainsi, seul le NADH fournit directement les éléments nécessaires à la création d’ATP.
Les autres molécules sont des intermédiaires n’ayant qu’une action indirecte.
Métabolisme de la NADH
Dans la mitochondrie, la NADH est oxydée par une série de réactions enzymatiques appelées chaîne respiratoire. Cette chaîne est située dans la membrane interne mitochondriale. Lorsque la NADH est oxydée, les électrons qu’elle contient sont transférés le long de la chaîne respiratoire, provoquant la formation d’un gradient de protons (H+) à travers la membrane interne.
Ce gradient de protons est ensuite utilisé par une enzyme appelée ATP synthase pour produire de l’ATP. L’ATP synthase agit comme une turbine, convertissant l’énergie du flux de protons en ATP. Ce processus est connu sous le nom de phosphorylation oxydative.
Parcours des électrons issues de la NADH
Les électrons de la NADH sont d’abord transférés vers le complexe I (NADH déshydrogénase) de la chaîne respiratoire. Ce complexe est composé de plusieurs sous-unités protéiques et de cofacteurs tels que le FMN (flavin mononucléotide) et le fer-soufre. Lorsque les électrons sont transférés vers le complexe I, cela entraîne le pompage de protons (H+) à travers la membrane interne mitochondriale, de la matrice mitochondriale vers l’espace intermembranaire.Les électrons passent ensuite du complexe I au coenzyme Q (ou ubiquinone), qui est une petite molécule liposoluble présente dans la membrane interne mitochondriale. Le coenzyme Q accepte les électrons et les transporte vers le complexe III (cytochrome bc1), qui est constitué de plusieurs sous-unités protéiques et de cofacteurs, tels que les cytochromes et les centres fer-soufre. Lors de ce transfert d’électrons, d’autres protons sont pompés à travers la membrane interne.
Le complexe III transmet ensuite les électrons au cytochrome c, une petite protéine mobile située dans l’espace intermembranaire. Le cytochrome c transporte les électrons vers le complexe IV (cytochrome c oxydase), qui est le dernier complexe de la chaîne respiratoire. Le complexe IV transfère les électrons à un autre cofacteur, appelé l’oxygène moléculaire (O2), réduisant ainsi l’oxygène en eau (H2O). Ce transfert d’électrons fournit également de l’énergie pour le pompage de protons.
Parcours des protons issues de la NADH
Les protons provenant de la NADH sont pompés à travers la membrane interne mitochondriale lors des transferts d’électrons aux différents complexes de la chaîne respiratoire. Ce processus de pompage de protons crée un gradient électrochimique, dans lequel la concentration de protons est plus élevée dans l’espace intermembranaire que dans la matrice mitochondriale.
Ce gradient de protons, connu sous le nom de potentiel électrochimique des protons, joue un rôle crucial dans la production d’ATP. L’ATP synthase, une enzyme située dans la membrane interne mitochondriale, utilise ce gradient pour générer de l’ATP.
L’ATP synthase fonctionne comme une turbine, propulsée par le flux de protons. Les protons traversent les sous-unités membranaires de l’ATP synthase, provoquant une rotation de l’enzyme. Cette rotation conformationnelle de l’ATP synthase permet la conversion de l’ADP (adénosine diphosphate) en ATP (adénosine triphosphate), qui est la principale source d’énergie utilisable par la cellule.
Complexe I (NADH déshydrogénase) : Le complexe I est le premier complexe de la chaîne respiratoire mitochondriale. Il reçoit les électrons de la NADH et les transfère au coenzyme Q. En même temps, il pompe des protons de la matrice mitochondriale vers l’espace intermembranaire.
Complexe II (Succinate déshydrogénase) : Le complexe II est impliqué dans le cycle de Krebs. Il transfère les électrons des succinates vers le coenzyme Q sans pomper de protons. Les électrons provenant du complexe II rejoignent ensuite le coenzyme Q pour continuer leur parcours dans la chaîne respiratoire.
Coenzyme Q (ou ubiquinone) : Le coenzyme Q est une petite molécule liposoluble qui agit comme un transporteur d’électrons entre les complexes I, II et III. Il accepte les électrons des complexes I et II et les transporte vers le complexe III.
Complexe III (Cytochrome bc1) : Le complexe III reçoit les électrons du coenzyme Q et les transfère au cytochrome c, une petite protéine soluble. Au cours de ce transfert d’électrons, des protons sont pompés à travers la membrane interne mitochondriale, contribuant ainsi à la création d’un gradient de protons.
Cytochrome c : Le cytochrome c est une petite protéine soluble liée à la membrane interne mitochondriale. Il transporte les électrons du complexe III vers le complexe IV, permettant la progression des électrons le long de la chaîne respiratoire.
Complexe IV (Cytochrome c oxydase) : Le complexe IV transfère les électrons du cytochrome c à l’oxygène moléculaire, réduisant ainsi l’oxygène en eau. Ce processus final de transfert d’électrons est accompagné du pompage de protons.
ATP synthase : L’ATP synthase est une enzyme située dans la membrane interne mitochondriale. Elle utilise l’énergie du gradient de protons pour catalyser la conversion de l’ADP et du phosphate inorganique (Pi) en ATP. L’ATP synthase fonctionne comme une turbine, alimentée par le flux de protons, et permet la production d’ATP, la principale source d’énergie utilisable par la cellule.
Le cycle de Krebs, également connu sous le nom de cycle de l’acide citrique ou cycle de l’acide tricarboxylique, est une étape clé du métabolisme énergétique des cellules aérobies. Il se déroule dans la matrice mitochondriale et joue un rôle central dans la dégradation des molécules organiques, telles que les glucides, les lipides et les acides aminés, pour produire de l’énergie sous forme d’ATP.
Il commence par l’entrée de l’acétyl-CoA, une molécule formée à partir de la dégradation des glucides, des lipides ou des acides aminés, dans le cycle. L’acétyl-CoA est combiné avec l’oxaloacétate pour former du citrate, d’où le nom de cycle de l’acide citrique. Au fur et à mesure que le cycle progresse, différentes réactions chimiques se produisent, entraînant la libération de dioxyde de carbone, la production de NADH et FADH2 (coenzymes transporteurs d’électrons), ainsi que la formation d’ATP par phosphorylation
L’ATP synthase est une enzyme membranaire qui joue un rôle important dans la production d’ATP (adénosine triphosphate), la principale source d’énergie utilisée par les cellules.
L’enzyme est composée de deux parties principales : le complexe membranaire F0 et le complexe soluble F1.
Le complexe F0 est ancré dans la membrane cellulaire et forme un canal à travers lequel les ions H+ (protons) peuvent passer.
Le complexe F1 se trouve à l’intérieur de la cellule, à proximité de la membrane, et contient les sites catalytiques responsables de la synthèse de l’ATP.
Le fonctionnement de l’ATP synthase est basé sur un processus appelé la chimiosmotique, qui utilise le gradient de concentration des protons de part et d’autre de la membrane pour générer de l’énergie.
Le processus commence avec la pompe à protons, qui utilise l’énergie de l’oxydation des nutriments (comme le glucose) pour pomper les protons à travers la membrane, créant ainsi une différence de concentration.
Les protons s’accumulent dans l’espace
intermembranaire, créant un gradient électrochimique.
Ensuite, les protons diffusent à travers le complexe F0 de l’ATP synthase, en passant par un canal spécifique. Ce passage de protons provoque une rotation de la partie F0 de l’enzyme, qui est transmise à la partie F1.
La rotation de la partie F1 entraîne des changements conformationnels qui permettent à l’enzyme de catalyser la synthèse de l’ATP. Les sites catalytiques de l’enzyme sont composés de sous-unités protéiques qui alternent entre trois conformations différentes : l’ADP + Pi (phosphate inorganique), l’ADP + Pi liés à l’enzyme, et l’ATP libéré.La rotation de la partie F1 fournit l’énergie nécessaire pour la conversion de l’ADP + Pi en ATP, en liant le Pi à l’ADP et en formant une liaison haute énergie. Lorsque l’ATP est formé, il est libéré de l’enzyme et peut être utilisé par la cellule pour divers processus métaboliques.
Ce cycle de rotation et de catalyse se poursuit tant que les protons continuent de passer à travers le complexe F0 de l’ATP synthase. Ainsi, l’enzyme convertit efficacement l’énergie du gradient de protons en énergie chimique sous forme d’ATP.
Bienfaits de l’ATP et du NADH
Qu’est ce que l’ATP
L’ATP, ou adénosine triphosphate, est une molécule essentielle pour le fonctionnement de toutes les cellules vivantes. Il est souvent considéré comme la “monnaie énergétique” de la cellule car il stocke et libère l’énergie nécessaire aux processus biologiques.
Elle est composé d’une base azotée appelée adénine, d’un sucre à cinq carbones appelé ribose et de trois groupes phosphate liés entre eux. L’énergie est stockée dans les liaisons chimiques entre les groupes phosphate, et lorsque ces liaisons sont brisées, de l’énergie est libérée.
Une fois formé, l’ATP est utilisé pour alimenter une grande variété de processus cellulaires. Par exemple, il fournit de l’énergie pour le mouvement cellulaire, la contraction musculaire, la synthèse des protéines, le transport actif des molécules à travers les membranes, la signalisation cellulaire et la réplication de l’ADN, entre autres. Pratiquement toutes les réactions endothermiques nécessitant de l’énergie dans les cellules dépendent de l’ATP.
Comment l’ATP influx sur votre énergie
Le NADH agit en tant que donneur d’électrons dans la chaîne respiratoire mitochondriale, une série de réactions biochimiques qui se déroulent dans les mitochondries, les centrales énergétiques des cellules. Dans cette chaîne respiratoire, le NADH transfère des électrons à des enzymes spécifiques, ce qui permet la production d’ATP par phosphorylation oxydative. L’ATP est la molécule responsable de la fourniture d’énergie aux processus cellulaires essentiels.
En fournissant un substrat supplémentaire pour la production d’ATP, le NADH permet une augmentation de la disponibilité énergétique dans l’organisme. Les compléments de NADH fournissent une source exogène de ce coenzyme, ce qui peut soutenir la production accrue d’ATP dans les cellules. Cela peut entraîner une augmentation des niveaux d’énergie globaux, ce qui se traduit par une amélioration des performances physiques et une réduction de la fatigue.
L’augmentation des niveaux d’ATP grâce aux compléments de NADH peut avoir plusieurs effets bénéfiques sur l’organisme. Tout d’abord, cela peut améliorer les performances physiques, car les muscles et les tissus ont plus d’énergie à leur disposition, ce qui peut se traduire par une endurance accrue et une meilleure capacité à effectuer des tâches physiques exigeantes.
De plus, l’augmentation des niveaux d’énergie cellulaire peut aider à réduire la fatigue. La fatigue est souvent associée à une diminution des réserves d’énergie dans l’organisme. En augmentant la disponibilité énergétique, les compléments de NADH peuvent contribuer à maintenir des niveaux d’énergie adéquats, ce qui peut réduire la sensation de fatigue et améliorer la vigilance mentale.
Enfin, les compléments de NADH peuvent favoriser la récupération cellulaire. Lorsque les cellules sont soumises à un stress physique ou à des dommages, leur capacité à produire de l’ATP peut être altérée. En augmentant la production d’ATP, les compléments de NADH peuvent aider les cellules à se rétablir plus rapidement, favorisant ainsi la récupération et la réparation des tissus.
Bienfaits cardiovasculaire
Les correcteurs de NADH, en plus de leurs autres avantages, ont également démontré des effets bénéfiques sur la santé cardiovasculaire. Le NADH, ou dinucléotide de nicotinamide et d’adénine, joue un rôle crucial dans la fonction des cellules endothéliales, qui tapissent les parois des vaisseaux sanguins. Ces cellules jouent un rôle clé dans la régulation de la vasodilatation, de la pression artérielle et de l’équilibre de lipides dans le sang.
L’amélioration de la fonction endothéliale est essentielle pour la santé cardiovasculaire globale. Les cellules endothéliales produisent de l’oxyde nitrique, une substance qui favorise la vasodilatation, c’est-à-dire l’élargissement des vaisseaux sanguins. Une vasodilatation adéquate permet une meilleure circulation sanguine et une réduction de la pression artérielle, contribuant ainsi à maintenir un système cardiovasculaire sain.
Des études ont montré que les compléments de NADH peuvent améliorer la fonction endothéliale en augmentant la production d’oxyde nitrique. En augmentant les niveaux d’oxyde nitrique, le NADH favorise la vasodilatation, ce qui permet une meilleure circulation sanguine et une réduction de la pression artérielle.
De plus, le NADH a été associé à une amélioration des profils lipidiques dans le sang. Des études ont révélé qu’il peut réduire le taux de cholestérol LDL (connu sous le nom de “mauvais cholestérol”) et augmenter le taux de cholestérol HDL (connu sous le nom de “bon cholestérol”). Cette augmentation du cholestérol HDL et la diminution du cholestérol LDL sont bénéfiques pour la santé cardiovasculaire, car elles aident à réduire le risque de formation de plaques d’athérosclérose et de maladies cardiovasculaires.
En prenant des compléments de NADH, il est donc possible de favoriser la vasodilatation, de réguler la pression artérielle et d’améliorer les profils lipidiques dans le sang. Ces effets combinés contribuent à réduire le risque de maladies cardiovasculaires, telles que les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et l’athérosclérose.
Bienfaits sur les fonctions cognitives
En augmentant les niveaux d’ATP dans le cerveau, le NADH favorise une activité neuronale optimale. Cela se traduit par une amélioration de la concentration, de la clarté mentale et de la cognition. L’ATP fournit l’énergie nécessaire aux processus de communication entre les cellules cérébrales, ce qui facilite le traitement de l’information, la réflexion rapide et la résolution de problèmes.
De plus, le NADH est impliqué dans la régulation de la dopamine, un neurotransmetteur essentiel associé à la motivation, à la régulation de l’humeur et à la mémoire. Une régulation saine de la dopamine est cruciale pour maintenir des fonctions cognitives optimales. Des études ont montré que le NADH peut contribuer à l’équilibre de la dopamine dans le cerveau, favorisant ainsi la motivation, l’attention et la capacité de se souvenir.
Les compléments de NADH peuvent donc améliorer les fonctions cognitives en favorisant une activité neuronale efficace et en régulant les niveaux de dopamine. Les effets positifs incluent une meilleure concentration, une clarté mentale accrue, une meilleure capacité à traiter l’information et à résoudre des problèmes. De plus, le NADH peut aider à soutenir la mémoire en favorisant le bon fonctionnement des connexions synaptiques et en facilitant le processus de formation et de rappel des souvenirs.
Amélioration du système immunitaire
Les compléments de NADH peuvent jouer un rôle crucial dans le renforcement du système immunitaire en améliorant la réponse immunitaire de l’organisme. Le NADH, en tant que coenzyme essentielle dans la production d’énergie cellulaire, est particulièrement important pour les cellules du système immunitaire, telles que les lymphocytes et les macrophages, qui sont responsables de la protection de l’organisme contre les infections et les maladies.
Une réponse immunitaire efficace nécessite un niveau d’énergie cellulaire optimal pour permettre aux cellules immunitaires de fonctionner de manière adéquate. Le NADH joue un rôle clé dans la production d’ATP, la principale source d’énergie utilisée par les cellules. En augmentant les niveaux d’énergie cellulaire, le NADH permet aux cellules immunitaires de maintenir leur fonctionnement optimal, ce qui favorise leur capacité à combattre les infections et à résister aux maladies.
De plus, le NADH est également impliqué dans la régulation de la production de cytokines, des molécules qui jouent un rôle crucial dans la modulation de la réponse immunitaire. Les cytokines sont responsables de la communication entre les cellules immunitaires, coordonnant ainsi leur action pour combattre les infections et les agents pathogènes. Des études ont montré que le NADH peut réguler positivement la production de cytokines, favorisant ainsi une réponse immunitaire équilibrée et appropriée.
En renforçant le système immunitaire, les compléments de NADH peuvent contribuer à maintenir une bonne santé et à prévenir les maladies. Un système immunitaire fort et réactif est essentiel pour résister aux infections, combattre les maladies et favoriser le processus de guérison. En fournissant l’énergie nécessaire aux cellules immunitaires et en régulant la production de cytokines, le NADH peut aider à optimiser la réponse immunitaire de l’organisme.
Réduction de l’inflammation et du stress oxydatif
Les correcteurs de NADH ont fait l’objet d’études visant à évaluer leur capacité à réduire l’inflammation et le stress oxydatif. Le NADH joue un rôle essentiel en tant que cofacteur pour certaines enzymes antioxydantes présentes dans l’organisme, notamment la superoxyde dismutase. Ces enzymes antioxydantes sont responsables de la neutralisation des radicaux libres, des molécules hautement réactives qui peuvent causer des dommages oxydatifs aux cellules.
En agissant comme un cofacteur pour ces enzymes antioxydantes, le NADH contribue à réduire le stress oxydatif dans l’organisme. Le stress oxydatif survient lorsque le déséquilibre entre la production de radicaux libres et la capacité du système antioxydant à les neutraliser entraîne des dommages cellulaires. En réduisant le stress oxydatif, le NADH aide à protéger les cellules contre les dommages et à prévenir les maladies associées au vieillissement et à l’inflammation chronique, telles que les maladies cardiovasculaires, les maladies neurodégénératives et certains types de cancer.
De plus, le NADH peut également moduler les voies inflammatoires dans l’organisme. Il a été démontré qu’il inhibe la production de certaines cytokines pro-inflammatoires, telles que le facteur de nécrose tumorale-alpha (TNF-alpha) et l’interleukine-6 (IL-6). Ces cytokines sont impliquées dans les processus inflammatoires chroniques qui peuvent contribuer au développement de diverses maladies, notamment les maladies cardiovasculaires, les maladies auto-immunes et les troubles inflammatoires chroniques.
En réduisant l’inflammation et le stress oxydatif, les compléments de NADH peuvent favoriser un état de santé général optimal. En protégeant les cellules contre les dommages oxydatifs et en modulant les voies inflammatoires, le NADH contribue à maintenir l’équilibre et la fonctionnalité de l’organisme. Cela peut se traduire par une réduction du risque de maladies liées à l’inflammation et au stress oxydatif, ainsi qu’une amélioration de la santé globale.
la NADH Longevity sciences lab
La molécule de NADH (nicotinamide adénine dinucléotide réduit) est un cofacteur indispensable à la production d’énergie cellulaire comme nous l’avons longuement expliqué.
En effet, elle entre en action au contact de l’oxygène dans les cellules et favorise la production d’énergie dans les mitochondries. Le NADH permet également la catalyse de plus d’un millier de réactions métaboliques avec notamment un rôle clef dans la régénération de l’ADN et de cellules altérées. Il est le garant de l’énergie au niveau du cœur et du cerveau et permet ainsi de renforcer le système immunitaire.
Il va donc lutter contre la sénescence en étant cofacteur d’enzymes impliquées dans la santé et sa conservation. Longevity Sciences Lab vous propose son NADH, un actif de pureté optimale permettant une efficacité maximale.
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Ce dosage permet une efficacité optimale de la molécule de NADH dans le corps.
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ETudes en lien avec la NADH
Nicotinamide adenine dinucleotide (NADH)–a new therapeutic approach to Parkinson’s disease. Comparison of oral and parenteral application
The reduced coenzyme nicotinamide adenine dinucleotide (NADH) has been used as medication in 885 parkinsonian patients in an open label trial. About half of the patients received NADH by intravenous infusion, the other part orally by capsules. In about 80% of the patients a beneficial clinical effect was observed: 19.3% of the patients showed a very good (30-50%) improvement of disability, 58.8% a moderate (10-30%) improvement. Consulter l’étude ici.
Comparison of oral nicotinamide adenine dinucleotide (NADH) versus conventional therapy for chronic fatigue syndrome
To compare effectiveness of oral therapy with reduced nicotinamide adenine dinucleotide (NADH) to conventional modalities of treatment in patients with chronic fatigue syndrome (CFS). Consulter l’étude ici.
Myalgic encephalomyelitis/chronic fatigue syndrome (ME/CFS) is a complex, multisystem, and profoundly debilitating neuroimmune disease, probably of post-viral multifactorial etiology. Unfortunately, no accurate diagnostic or laboratory tests have been established, nor are any universally effective approved drugs currently available for its treatment. This study aimed to examine whether oral coenzyme Q10 and NADH (reduced form of nicotinamide adenine dinucleotide) co-supplementation could improve perceived fatigue, unrefreshing sleep, and health-related quality of life in ME/CFS patients. En savoir plus.
Chronic fatigue syndrome (CFS) is a chronic and extremely debilitating illness characterized by prolonged fatigue and multiple symptoms with unknown cause, diagnostic test, or universally effective treatment. En savoir plus.
The aim of this study was to assess the effects of nicotinamide adenine dinucleotide hydride (NADH) on maximal oxygen uptake (VO2max), maximal anaerobic running time, and mental performance. Eight men were exposed to a supplement treatment (30 mg NADH as ENACHI tablets per day) and to a placebo treatment, each of 4 weeks’ duration, in a balanced, double-blind, and cross-over design. En savoir plus.
The pyridine nucleotides, NAD+ and NADH, are coenzymes that provide oxidoreductive power for the generation of ATP by mitochondria. In skeletal muscle, exercise perturbs the levels of NAD+, NADH, and consequently, the NAD+/NADH ratio, and initial research in this area focused on the contribution of redox control to ATP production. En savoir plus.
NADH (nicotinamide adénine dinucléotide réduit): Molécule essentielle dans le fonctionnement de notre organisme. Elle fournit de l’énergie aux cellules sous forme d’ATP. Pour plus d’informations, vous pouvez consulter la page Wikipedia sur le NADH.
Mitochondries: Organites cellulaires responsables de la production d’énergie dans nos cellules. Pour en savoir plus, vous pouvez visiter la page Wikipedia sur les mitochondries.
ATP (Adénosine Triphosphate): Molécule utilisée comme source d’énergie par les cellules. Pour des détails supplémentaires, vous pouvez consulter la page Wikipedia sur l’ATP.
NAD+ (nicotinamide adénine dinucléotide): Forme oxydée de la NADH, joue un rôle dans les réactions biochimiques liées à la production d’énergie. Vous pouvez en apprendre davantage en consultant la page Wikipedia sur le NAD+.
NMN (nicotinamide mononucléotide): Molécule qui joue un rôle dans le métabolisme énergétique des cellules, précurseur de la NAD+. Pour plus d’informations, vous pouvez visiter la page Wikipedia sur le NMN.
Coenzyme: Molécule nécessaire au fonctionnement des enzymes, dans ce cas, la NADH et la NAD+ sont des coenzymes. Pour des détails supplémentaires, vous pouvez consulter la page Wikipedia sur les coenzymes.
Métabolisme énergétique: Ensemble des réactions chimiques qui permettent à l’organisme de produire de l’énergie à partir des nutriments. Pour en savoir plus, vous pouvez visiter la page Wikipedia sur le métabolisme énergétique.
Dégradation des aliments: Processus de transformation des aliments en nutriments utilisables par l’organisme. Pour des détails supplémentaires, vous pouvez consulter la page Wikipedia sur la dégradation des aliments.
Réactions de réduction-oxydation (redox): Réactions chimiques où des électrons sont transférés d’une molécule à une autre. Pour plus d’informations, vous pouvez visiter la page Wikipedia sur les réactions de réduction-oxydation (redox).
Phosphorylation oxydative: Processus par lequel l’énergie produite lors de la chaîne respiratoire mitochondriale est utilisée pour produire de l’ATP. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page Wikipedia sur la phosphorylation oxydative.
Chaîne respiratoire mitochondriale: Ensemble de réactions chimiques dans la membrane interne des mitochondries, impliquées dans la production d’ATP. Pour des détails supplémentaires, vous pouvez consulter la page Wikipedia sur la chaîne respiratoire mitochondriale.
Gradient de protons: Différence de concentration de protons (H+) entre deux compartiments cellulaires, utilisée pour produire de l’ATP. Pour plus d’informations, vous pouvez visiter la page Wikipedia sur le gradient de protons.
Cycle de Krebs (ou cycle de l’acide citrique): Processus métabolique qui décompose les nutriments pour produire de l’énergie sous forme d’ATP. Vous pouvez en apprendre davantage en consultant la page Wikipedia sur le cycle de Krebs.
Acétyl-CoA: Molécule formée à partir de la dégradation des glucides, des lipides ou des acides aminés, qui entre dans le cycle de Krebs. Pour des détails supplémentaires, vous pouvez consulter la page Wikipedia sur l’acétyl-CoA.
ATP synthase: Enzyme responsable de la production d’ATP en utilisant le gradient de protons créé lors de la chaîne respiratoire mitochondriale. Pour en savoir plus, vous pouvez visiter la page Wikipedia sur l’ATP synthase.
Dioxyde de carbone: Gaz libéré lors de certaines réactions chimiques, dont certaines se produisent dans le cycle de Krebs. Pour des détails supplémentaires, vous pouvez consulter la page Wikipedia sur le dioxyde de carbone.
FADH2: Coenzyme transporteur d’électrons produit lors du cycle de Krebs. Vous pouvez en apprendre davantage en consultant la page Wikipedia sur le FADH2.
Complexes de la chaîne respiratoire: Ensembles de protéines impliquées dans le transfert d’électrons le long de la chaîne respiratoire mitochondriale. Pour plus d’informations, vous pouvez visiter la page Wikipedia sur les complexes de la chaîne respiratoire.
Oxygène moléculaire: Gaz qui agit comme accepteur final d’électrons dans la chaîne respiratoire mitochondriale, réduit en eau. Pour des détails supplémentaires, vous pouvez consulter la page Wikipedia sur l’oxygène moléculaire.
Potentiel électrochimique des protons: Gradient de concentration et de charge électrique des protons (H+) qui génère une différence de potentiel électrique. Ce potentiel électrochimique des protons est utilisé par l’ATP synthase pour produire de l’ATP. Pour en savoir plus, vous pouvez visiter la page Wikipedia sur le potentiel électrochimique des protons.
Glycolyse: Processus métabolique qui décompose le glucose en pyruvate, produisant une petite quantité d’ATP. Vous pouvez en apprendre davantage en consultant la page Wikipedia sur la glycolyse.
Pyruvate: Molécule produite lors de la glycolyse, qui peut être utilisée dans d’autres voies métaboliques pour produire de l’énergie. Pour plus de détails, vous pouvez consulter la page Wikipedia sur le pyruvate.
Réactions d’oxydation: Réactions chimiques où une molécule perd des électrons. Pour des détails supplémentaires, vous pouvez consulter la page Wikipedia sur les réactions d’oxydation.
Réactions de réduction: Réactions chimiques où une molécule gagne des électrons. Pour en savoir plus, vous pouvez visiter la page Wikipedia sur les réactions de réduction.
Réactions métaboliques: Réactions chimiques qui se produisent dans les cellules pour convertir les nutriments en énergie ou en autres molécules nécessaires au fonctionnement de l’organisme. Pour des détails supplémentaires, vous pouvez consulter la page Wikipedia sur les réactions métaboliques.
Réactions enzymatiques: Réactions chimiques catalysées par des enzymes, des protéines qui accélèrent les réactions biochimiques dans l’organisme. Pour en savoir plus, vous pouvez visiter la page Wikipedia sur les enzymes.
Glycérol phosphate: Molécule produite lors de la dégradation des lipides, qui peut entrer dans le cycle de Krebs pour produire de l’énergie. Vous pouvez en apprendre davantage en consultant la page Wikipedia sur le glycérol phosphate.